March 14 - 17, 2022
So the ‘long weekend’ in Normans Pond turned out to be full of emotions. Not really because of weather though… First, we decided that we could use that ‘forced time off’ to do some chores. One thing on the list we kept putting back to later was changing the primary and secondary fuel filters on the engine. It’s just not that fun to play in diesel you know. So we procrastinated until last weekend.
- Changing and cleaning the primary filter : 10 minutes (piece of cake)
- Changing the secondary filter : 15 minutes including brain puzzling about how to pull the rubber gasket out of the lid (piece of salad)
- Bleeding the engine correctly so it would start again : 2 freaking hours (nightmare)
- 1st try : We thought we could skip some steps, and only bleed at the injectors (wrong). Obviously that didn’t work.
- 2nd try : We went through the list of steps highlighted in the engine manual, but the first little bleed screw seemed stuck. Remy suggested we skip that one, as he was afraid we would break it. I said : So we’re going to skip STEP ONE!??? He said : Yes. (I’m thinking this can’t be a good idea…) But we tried and bled the rest of the screws following the procedure. Nope. No success on that one.
- 3rd try : We realize that we didn’t bleed at the right place for the injector high pressure lines. So we repeat all steps (still skipping step ONE). Again, tough luck.
- 4th try : We thought maybe we drained the starter battery a little too much? Even if it’s still showing decent voltage? So Remy jumps the starter batteries with the house batteries, and rigs the solar controller to charge the starter battery as well. We wait a bit, crank again. Nothing.
- 5th try : Remy pulls out the torch. He tried to heat the air intake like crazy to help the engine start (that used to work in cold climate when cold was the problem…) But no, in the Bahamas, cold weather is not the reason why Mr Perkin isn’t crankin.
As stress level rises and impatience builds up… We start to think about the situation : we are at anchor in a pond, waiting for a cold front to pass by, which means rough winds clocking 360 degrees, which means our anchor will have to reset at least twice, which means if it does not reset and we start dragging and don’t have an engine we may end up playing bumper boats with others and end up beached on shore somewhere. And if that doesn’t happen, we still have to get out of here, sailing through this twisty narrow and shallow passage without the engine just sounds like a recipe for disaster. So that’s it, we’re screwed, we will have to spend the rest of our lives here in Normans Pond. Life sucks.
- 6h try : No way we will spend our life here. Remy pulls the RP7 bottle, shoot it in the air intake and crank again. Even THAT didn’t work. He looks at me and says “I’m out of ideas, I’ll got take a nap”.
So, I’m thinking that it’s gotta be that stupid little first screw we didn’t bleed yet, there’s no other reason. The engine has been working fine since he rebuilt it. I grabbed the tiny little wrench, and looked at that tiny little bolt and said “You and I are going to work together, ok? I’m not going to break you, trust me, you just need to relax and let go, all is going to be fine…”
Tadam!!! I untightened bolt #1, so we could redo all the steps properly, and Mr Perkins happily started again. Fiew… What a scare we had imagining we were gonna spend the rest of our lives in Normans Pond 😉
Lessons learned :
- Never attempt to repair something that is not broken when you’re stranded in the middle of nowhere
- Engine bleeding 101, 201, 301… check. I think we got that procedure figured out in much details now.
That night, we went to bed early (emotions take lots of energy to process you know!) but we didn’t sleep much as the expected weather arrived and we were on watch mode most of the night.
Finalement, notre long weekend à Normans Pond (l’étang à Normand) s’est révélé rempli d’émotions. Mais contrairement à nos attentes, ça n’est pas la météo qui nous a donné du fil à retordre. D’abord, nous avions décidé d’utiliser ce petit temps d’arrêt météo pour s’affranchir de certaines tâches qui moisissaient depuis un certain temps sur notre liste de choses à faire. Parmi elles ; le remplacement des filtres à diesel… filtre primaire, et filtre secondaire. Vous savez, il y a des choses plus excitantes dans la vie que de barboter dans le diesel. Alors on a procrastiné jusqu’à la fin de semaine passée.
- Remplacer le filtre primaire (10 minutes) : Bébé fafa.
- Remplacer le filtre secondaire (15 minutes, incluant le petit délai pour retirer le joint d’étanchéité pogné dans le rebord du couvercle) : Pas si tant pire non plus.
- Purger l’air du système d’alimentation pour que le moteur reparte (2 tabarnouches d’heures interminables).
1er essai ; On s’est dit que de purger l’air à partir des injecteurs seulement — à la fin du circuit — suffirait à régler le problème et qu’on pourrait passer à autre chose. Évidemment, c’était de la pensée magique, ça n’était pas suffisant.
2e essai ; On est passé à travers la liste des étapes qui sont recommandées dans le manuel du moteur… Sauf que, la première vis à dévisser, toute menue et frêle, ben elle était un peu coincée. Étant donné que la différence entre « cliq » et « crac » est lourde de conséquences quand on est au milieu de nulle part, j’ai recommandé qu’on skip cette étape-là pour éviter de casser la petite vis délicate. Magalie n’était pas trop trop enthousiaste à l’idée de sauter l’étape recommandée #1… mais bon. C’est plus facile de revenir faire cette étape-là plus tard, que de risquer de briser une vis critique.
Bref, on a suivi toutes les étapes à la lettre (sauf la première [misère]) et, évidemment, ça n’a pas fonctionné)
3e essai ; On réalise que notre tentative de purger au niveau des injecteurs, ben on l’a faite sur le circuit de retour, plutôt que sur le circuit d’alimentation. Donc… retour à la case départ, suivi toutes les étapes (sauf la première). Marche po.
4e essai ; (rendu ici, la patience commence à être en quantité limitée, et l’énergie dans la batterie de démarrage aussi). Donc on parallélise la banque de batterie House avec la batterie de démarrage. (je pensais que le mot « paralléliser » n’existait pas, mais MsWord ne chiale pas… faut que je me souvienne de ça à la prochaine partie de Scrabble). Nope.
5e essai ; Pu de patience ; on chauffe l’air d’entrée à la torche ; normalement… avec de la chaleur, le Perkins il part TOUJOURS. Mais là, dans les Bahamas, il en a déjà de la chaleur, ce n’est pas ça le problème. Donc il part pas plus. Les batteries ne se rechargent pas vraiment, et la patience non plus.
Là, il y a une question de patience qui s’épuise, mais, en parallèle à ça, il y a aussi un stresse qui s’accumule. On est à Norman’s Cay… c’est pas exactement le centre-ville. Y’a rien ici. C’est une ile ou les amis de Pablo Escobar venaient se cacher pour ne pas se faire pogner ; c’est assez loin de Napa auto Parts. Aussi, on est à l’ancre, et ils annoncent le passage d’un front froid, ce qui implique que le vent va nous faire un 360 degrés dans les prochaines heures, et que notre ancre devra se décrocher (et se raccrocher) au moins deux fois d’ici là. Si elle accroche mal, on n’aura pas de moteur pour contrôler le bateau, et on risque de se retrouver échoué dans les roches au milieu de nulle part.
Mais même si l’ancre se comporte bien, faudrait toujours bien sortir d’ici un jour, et il est complètement impossible d’envisager de négocier à voile le petit passage étroit et peu profond qui nous a permis d’entrer ici. Bref, il faudra passer le reste de notre vie dans les mangroves à Normans Pond. Ça chie.
6e essai ; Pas question que je passe ma vie ici : RP7 dans l’entrée d’air… et je crank. Si ça ne part pas… ÇA NE PARTIRA JAMAIS !
Ça n’a pas parti.
J’avais pu d’idée. Je vais me coucher.
Pendant que je faisais un petit somme, Magalie, elle, continuait de penser à la petite vis qu’on avait décidé de ne pas toucher pour ne pas la casser. Depuis qu’on a remonté le moteur, il a toujours bien fonctionné, sans aucun problème. Ça n’a pas le choix d’être un problème qu’on vient de causer — et la seule entorse à la procédure de purge, c’était celle-là… ça ne peut donc pas être autre chose.
Elle a donc pris un tout petit petit wrench (1/4 po… c’est pas gros ça !), et elle a regardé la toute petite vis crouteuse, et lui a murmuré quelque chose à l’oreille pour l’encourager à se relaxer (oui oui, il parait que les vis ont des oreilles).
Tadam ! La vis n’a pas cassé. Elle s’est dévissée. La vis #1 étant libre, nous avons refait toutes les étapes de purge… encore une fois, et Mr Perkins a démarré comme un chef. On aura donc la possibilité de vivre notre vie ailleurs qu’à Normans Pond.
Leçons apprises :
- N’essayez jamais de réparer quelque chose qui n’est pas brisé quand vous êtes pris au milieu de nulle part.
- Purge de moteur 101, 201, 301… c’est maitrisé. On connait maintenant la procédure sur le bout de nos doigts (qui sentent encore le diesel soit dit en passant)
On s’est couchés tôt ce soir-là (les émotions, ça brule de l’énergie, vous savez !) mais on n’a pas dormi beaucoup, puisque le système météo qu’on attendait nous est passé sur la tronche et on a dû se relayer pour veiller sur notre ancrage une bonne partie de la nuit.
The next day, we needed to move a bit, so we decided to take the dinghy to shore and go check out the beach, even if it was still windy as hell, it was sunny. Well, that damned outboard did not want to cooperate. Remy almost dislocated a shoulder (again) trying to start it. It worked just fine the day before, and we put so much effort into trying to fix it that it gets really frustrating when it’s not working for no apparent reason. Frustration, frustration, frustration led to shopping! Whenever we managed to make our cell connection work (another frustrating subject) by hoisting a phone up the mast to get spotty unreliable signal, we found a shop in Nassau that sells those 2 stroke engines. So next morning we called the shop and had one of them put aside for us. That means, we are making a U-turn, we’re going back up north (well, for 42 nm at least).
To add to our maintenance stories while in the pond, we decided to tighten the turnbuckle that holds the deck under the solent stay, as we noticed it was a bit loose. Hum… Well… it was not loose in the way we were expecting. The entire backing plate was broken. The welding has completely failed. Looks like it may not have been welded with the right material in the first place. So we took the whole thing apart, and we’ll try to have a proper backing plate made in Nassau while we’re there. Without the solent stay, we can still sail, but we are limited to the genoa and the main only. And since we never use the genoa half furled, we’ll have to be more careful with our weather windows until we get this rig setup. That gives a break to our old beaten jib, who had just gotten a new taping and stitching job done in the pond! (Oh! And I finally mastered the speedy stitcher! My grand-ma would be proud 😉 )
Le jour suivant, on avait besoin de se dégourdir, donc nous avons décidé d’utiliser le dinghy pour aller jeter un coup d’œil sur la plage juste à côté. C’était venteux, mais c’était aussi ensoleilleux.
Le moteur du dinghy ne partait pas. Là, excusez mon français, mais calvert, ça va faire ! J’ai failli m’arracher une épaule à essayer de le démarrer. Je commence à ressembler au lanceur de javelots dans les douze travaux d’Astérix à force de crinquer. La veille, il marchait parfaitement… aucun problème… une joie. Là… il veut rien savoir. Mais rien.
Alors on a magasiné pour un nouveau hors-bord. Au cellulaire. A Normans Pond. (Ça aussi c’est frustrant.) Allo ? M’entendez-vous ? Allo ? Ah, moi je vous entends, pas vous ? En fin de compte ; on a réussi à en trouver un — comme je voulais. Un deux temps 8hp. Yamaha Enduro — à Nassau. 42 miles nautiques EN ARRIÈRE d’où on est rendus. « Mettez-le-nous de côté, on arrive ! »
Pour ajouter à nos péripéties d’entretien sur l’étang à Normand, on avait prévu resserrer le turnbuckle qui retient notre étai largable sous le pont, puisqu’on avait remarqué qu’il était un peu dévissé. Ben il n’était pas dévissé, il était décrounché. En fait, il semble que la soudure qui avait été faite sur les contre-plaques ait été faite à l’acier régulier plutôt qu’en Inox. Bref, la soudure était arrachée et il nous faudra faire fabriquer un remplacement sur mesure à Nassau.
Sans l’étai largable, on est toujours en mesure de naviguer, ça nous limite simplement dans le choix des voiles d’avant que nous pourrons utiliser. Nous devrons nous contenter du génois pour la route entre ici et Nassau. Dommage, parce que Magalie venait tout juste de réparer le foc magané — avec du tape et des coutures. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est comme neuf… mais disons qu’il est moins pire qu’avant.
Our exit of the pond was eventless, we left at sunrise, at high tide, and went to check out the plane wreck just south of Normans Cay. We anchored next to it, waited for the sun to rise a little more, but with more sun also came more tourists. Oh well… we snorkeled around the sunken drug carrier with all other visitors. There were still many beautiful fishes and corals growing on the wreck. The current though, was getting pretty strong as we were in a pass between islands. A big SunSail catamaran came and anchored right next to us. The Spanish speaking crowd jumped in to explore, but when the party was over, they had hoisted the dinghy back up before everyone was onboard, and one of their friend was unable to beat the current. He looked like a good swimmer, but without fins, he was just not making headway. We were looking closely at the situation, and hailed at him to swim sideways to the current, so he could reach our boat instead. When he did, he grabbed our dinghy and was panting like there’s no tomorrow. I realized it’s very tough to judge of someone’s state of fatigue when they’re in the water. He was not panicking or anything, but he was way more tired than he looked when he was swimming. This guy reminded me of my own horror story while snorkeling in Fiji long time ago with Karine and Ivane.
The tidal current increased, the wind picked-up against it and when we were ready to head back, the beach was pretty damn far in the wrong direction, and I was a poor swimmer with no fins. Recipe for disaster. At best I was standing my ground, but as soon as I got water in the tuba from the waves, I was going backwards coughing… Karine was an athlete, she just swam like a beast. Ivane had fins, so when he realized they were losing me, he came back and dragged me to the beach. I was saved, but I learned never to go snorkeling without fins again.
So I felt like telling that story to this guy panting on the back of our dinghy. His friends dropped the dinghy back in the water to pick him up and all our tourists lives went on. Snorkeling, sailing, playing scrabble.
Finalement, notre sortie de l’étant s’est déroulée sans histoire ; nous avons quitté au lever du soleil, à marée haute, et avons fait un petit détour pour visiter l’épave d’un vieil avion ayant appartenu à Pablo ou à un de ses comparses. On s’est mis à l’ancre juste à côté, avons attendu que le soleil se lève un peu davantage. Mais avec le soleil sont apparus les touristes. Plein de touristes.
Tant pis, touristes ou pas, on visite le spot. C’était joli, surtout que ce genre d’épave crée un environnement particulièrement favorable pour les coraux et les poissons qui y trouvent refuge. (Prochaine fois, on y apporte la caméra étanche — promis. Cette fois-ci, pas de photo pour vous, désolé.) Graduellement par contre, le courant forcissait, et les bateaux de touristes se faisaient plus rares.
A un moment donné, un gros catamaran de location s’est mis à l’ancre juste à côté de nous. Ils ont eux aussi pris le temps d’observer les poissons et l’épave de l’avion. Tour à tour ils sont remontés à bord, satisfaits, j’imagine, de leur escapade. Un seul de leur compagnon restait à l’eau tandis que le reste de l’équipage s’affairait à remonter leur dinghy à bord et à préparer le bateau pour le départ.
Mais à un certain point, la force du courant était un peu trop intense pour le retardataire, qui n’arrivait visiblement pas à progresser vers le bateau. Il avait pourtant l’air d’un excellent nageur, mais sans palmes, ça n’était pas suffisant.
Heureusement, Magalie le surveillait de près, et quand elle a vu qu’il ne pourrait pas se rendre à son bateau, elle lui a fait signe de nager perpendiculairement au courant, vers notre bateau plutôt que vers le sien. Quand il a finalement réussi à s’accrocher à un cordage qui Magalie lui lançait, nous avons compris le sérieux de la situation. Il n’était pas paniqué, mais le pauvre était exténué ! C’est beaucoup plus difficile qu’on le croirait de juger de l’état d’épuisement de quelqu’un qui est dans l’eau.
Pendant qu’il reprenait son souffle, assis dans notre dinghy, Magalie lui racontait une histoire semblable qu’elle avait vécue à Fiji avec ses amis Karine et Ivane (et où elle avait appris que de partir en snorkeling sans palme, ça pouvait vite devenir un sport extrême).
Une fois qu’il eut rejoint son équipage, nous sommes repartis chacun de notre côté et avons continué nos occupations, comme si de rien n’était ; plongée en apnée, navigation et parties de Scrabble !
We sailed back to Nassau the next day, under genoa (of course), with a great breeze from behind, taking turns on the bow to watch for big rocks in the potato field, doing 6-7 knots. We dropped anchor and prepared our ‘to do list’ for our many missions while in Nassau.
Nous sommes partis vers Nassau le jour suivant, sous Génois (évidemment), avec un vent arrière régulier, filant 6 ou 7 nœuds et nous relayant à l’étrave pour surveiller les gros cailloux dans le champ de pétates. Nous avons jeté l’ancre à Nassau et préparé notre liste de missions à accomplir durant notre visite à Nassau !
** Note — le récit original (en anglais) a été rédigé par Magalie et je l’ai traduit, suite à une demande spéciale, et en modifiant (bien sûr) les passages où j’avais l’air trop fou.
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You brought back so many memories of both those engines. Some things never change and I think the idea of getting a new o/b is a good one. I never could figure out why that f…ng engine would work fine one day an not the next.
As for engine bleeding you learnt the hard way but at least you learnt!! Good on ya….
Yet… at some point I really thought I found the Yamaha issue; there is gasket that causes exhaust to leak inside the engine cover. Depending where the wind comes from relative to the air intake (not kidding), the engine would either breath fresh air and run fine, or recirculate its exhaust and stall. Running without the engine cover solved the issue…. or so I thought. I blamed the carburetor, cleaned it… worked fine for a day… then impossible to start again.
Besides, all maintenance is getting more complicated with the risk of snapping bolts (3 so far)…
Have bled a few also. No fun. Good job!! A new definition of cruising mechanics and maintenance should be in there somewhere.?
Thanks Dave, I’m sure you’ve bled more engines than you’d ever dream of. We could have used some of your expertise as you can see 😉
Vos récits tragi-comiques sont tellement intéressants mème si bien des choses m’échappent. Bon vent !
Moi aussi y’a ben des choses qui m’échappent. 🙂
Sérieusement, si vous avez des questions, hésitez pas à les poser. Des fois il y a des petits clins d’œil pour les initiés (ou des inside jokes) mais plus souvent qu’autrement, on skip des détails sans faire exprès et on oublie que certains bouttes peuvent être difficiles à suivre pour les terriens!
Merci Rémy pour la traduction en français…good job…belle-maman est contente et elle a bien ri!! J’adore lire vos aventures bien assise confortablement dans notre salon.👍🌈
Un gros MERCI à Rémy pour la traduction, ça fait du bien de lire du français car ici on est immerger d’espagnol et au condo c’est juste des anglophones. Continuez votre beau périple en profitant de chaque moment ! Bisous XOX
Vous faites une équipe du tonnerre mes héros. C’est pas étonnant que la petite Magalie ait eu le dessus sur la petite visse (la délicatesse a sa place sur un voilier) Les hamsters ont battu des records de RPM.
Vous devriez avoir plus de vidéos, c’est l’instant présent et c’est très rafraîchissant.
Merci de nous amener avec vous
Papa