Nassau – Exuma
(prise 2)

March 18-30, 2022

So we spent 4 days in Nassau, it was an efficient stop, anchored just outside Harbor Club marina like last time.

First mission : Figuring where the dinghy dock is. Ok it’s behind the Rubis gas station. When we got there, we ran into our friends Olivier and Agnès who were on their way back to Florida already.

Second mission : buying the new outboard engine! Buying it is the easy part. Getting it back to the boat is another mission for tomorrow…

Third mission : Having the new plates fabricated for the Solent stay. Hum… This was not as straightforward, but we managed to find the stainless steel guy in town, showed up to his shop with the old parts and asked for a quote.

Forth mission : Selling the old outboard. I made a few paper adds in the nearby hardware stores and marinas, as well as one on Facebook marketplace (unreliable Yamaha 2 stroke 8HP 2007, make an offer)

Fifth mission : Work… I had 3 zoom meetings to attend for work, so it turned out to be a very good thing to be in Nassau, as cell phone reception is way better here than in the exuma. Fiew…

Nous avons donc passé quatre jours à Nassau, ancrés juste devant la marina Harbor Club. C’était un arrêt très efficace ;

Première mission : figurer où se trouve le Dinghy Dock. (Le dinghy dock, c’est un p’tit nom gentil pour un quai où laisser notre annexe quand on va à terre.) Il était situé derrière une station-service, et il s’agissait en fait d’une ancienne marina en état de « rénovations ». Aussitôt arrivés, nous avons rencontré nos amis Olivier et Agnès qui, eux, étaient déjà en train de faire leur voyage de retour vers la Floride.

Seconde mission : Acheter le nouveau hors-bord ! L’acheter, c’était la partie facile. Le ramener au bateau depuis le magasin, ça sera la mission l’fun pour demain !

Troisième mission : Faire fabriquer les nouvelles plaques pour le support d’étai largable. Hum… Ça n’a pas été aussi simple qu’on pensait. On a réussi à trouver le soudeur d’inox en ville, et on s’est pointés pour avoir un estimé, en lui laissant les vieilles pièces comme modèle à copier.

Quatrième mission : Vendre le vieux hors-bord. J’ai* rédigé quelques annonces papier qu’on a laissées dans les magasins locaux, en plus d’une annonce sur Facebook Marketplace. C’était une annonce honnête pour « un Yamaha 2 temps, 2007, pas fiable, faites une offre)

Cinquième mission : Travailler. J’avais 3 meetings sur Zoom pour le travail. C’était donc une vraiment bonne chose qu’on se soit retrouvés à Nassau. Disons qu’ici, la réception cellulaire est pas mal meilleure qu’au milieu des Exumas.

 

NOTE : En tant que traducteur, je suis un peu confus… est-ce que je devrais traduire le texte que Magalie a écrit en la personnifiant ou bien je met ça à la deuxième personne ? Pour éviter que vous soyez aussi confusés que moi ; quand je dirai « je », c’est le « je » de Magalie, mais les fautes de français et la structure grammaticale toute décombobulée** viennent de moi.

NOTE DANS LA NOTE : Cherchez pas le mot décombobulé dans le dictionnaire, c’est un anglicisme que je viens tout juste d’amener dans la langue française. Ça vient de l’anglais « discombobulated »… mais on n’a pas synonyme exact (ou du moins aussi divertissant) en français. Alors voilà. Tant pis pour l’OQLF. Je ne suis pas au Québec, alors j’ai bien le droit de m’exprimer dans un français aussi massacré que j’en ai envie.

NOTE (3) : Faut que j’arrête d’ajouter trop de notes inutiles, parce que quand Magalie va essayer de mettre les textes côte à côte sur le site web, ça ne sera pas de la même longueur et ça sera très anti-agréable à faire.

The next day we came back to the outboard shop to pick-up the engine. Remy carried it like a potato bag all the way from the shop to the dinghy dock. It looked close enough, but with an 80 pound not so smooth metal object on the shoulder, it looked very painful. He still has bruises from it…

While he was recuperating from his intense exercise session, I went back to the stainless shop to see if we had a quote and if he could do this in a timely manner. No quote yet, the boss had not been in the office in a few days… So I politely asked if we could have the part before Monday as the wind forecast was supposed to be great to get back south. The guy said he would call me back tomorrow. I crossed all my fingers and toes.

Remy did another circus-like maneuver to bring the new engine into the dinghy (which involved walking down a half broken ladder with the thing on his shoulder!) and he magically swapped the engines. TADAM!!!! New tank, new fuel line, new fuel mixed up 25:1 with new oil and here we go, he pulled the crank and it started. Our misery is over (crossing fingers and toes… again).

The next day we had someone meet us at the dock to buy the old one. Remy tried to crank it for one last time to show the guy it was ‘working’, but that was Sunday, and this engine does not work on Sundays, so it never started. But luckily, the dude bought it anyway with a little price reduction, thinking he would find someone to fix it. We left him with the old tank and a few spare parts and said ‘Good luck man’.

Le lendemain, nous sommes retournés au magasin pour prendre possession de notre nouveau hors-bord. Rémy l’a transporté sur son épaule, comme un gros sac de pétates, depuis le magasin jusqu’au quai des annexes. C’était pas très loin, comme diraient les gens de Natashquan, mais avec un moteur de 80 livres sur l’épaule, le temps passe lentement.

Alors qu’il récupérait de son exercice intense, je suis retournée à l’atelier d’inox pour voir s’ils avaient décidé du prix pour les morceaux. Pas encore. Le patron s’était absenté pour quelques jours. Alors j’ai poliment mentionné que ça nous prendrait la pièce avant lundi, parce que c’est à ce moment-là qu’on avait notre météo favorable pour repartir vers le sud. On nous a promis un rappel le lendemain. Je me suis croisé les doigts, et les doigts de pieds aussi. 

Rémy s’est encore une fois illustré par ses acrobaties pour descendre le moteur depuis le quai jusqu’à l’annexe ; la manœuvre impliquait de descendre une échelle de bois toute brisée avec le moteur sur l’épaule (et de remonter la même échelle avec le vieux moteur). Dans une exécution digne du Cirque du Soleil, les moteurs étaient échangés. TADAM ! Nouveau réservoir, nouvelle ligne pour l’essence, mélange de 25 : 1 prêt pour le rodage du nouveau moteur… on a tiré la bobinette et le moteur du dinghy starta. La malédiction du Yamaha était levée… ou du moins on l’espère (croisage de doigts et d’orteils à nouveau).

Le lendemain, on avait la visite d’un acheteur potentiel pour le vieux moteur. Rémy a bien fait son possible pour le démarrer, et démontrer que le moteur est tout de même un peu « fonctionnel »… mais peine perdue. On était dimanche, et le dimanche, ce moteur-là… il ne travaille pas. Par chance — et surtout parce qu’on ne le vendait vraiment pas cher — le gars s’est laissé convaincre et l’a acheté, en se disant qu’il trouverait bien quelqu’un pour le réparer. On lui a laissé le réservoir, l’essence dans le réservoir, une poignée de pièces de rechange… et on lui souhaite bonne chance dans ses projets !

We were also very lucky that our stainless plates were ready to pick-up at the shop! Wow ! They were expensive, and not quite ISO quality (even if we left them the old part) but with a dremel, a metal file and some patience, we made it work. We also made a big batch of thickened epoxy to fill the gap under the plate so it sits flat under and can spread the load nicely on the bow. The Solent stay is back on and ready to sail!

Good news… cause to sail back to the Exuma, we needed it (turn on the speakers for this one!) :

Non seulement le moteur était vendu, mais on venait d’apprendre que nos pièces étaient prêtes à l’atelier ! Wow ! Le résultat était plutôt dispendieux, pas exactement qualité ISO, mais avec une lime, un dremel et beaucoup de patience, on a réussi à les mettre en place. On en a aussi profité pour faire un gros mélange d’époxy épaissi pour remplir l’espace entre la plaque d’inox et son appui sous le pont, de manière à mieux répartir les charges. L’étai largable est de retour et prêt à naviguer !

Tant mieux… parce qu’on s’en va aux Exumas, et on va en avoir besoin ! (Allumez le son pour celui-là)

We sailed back at rocket speeds and made it to Shroud Cay, which is at the beginning of the Exuma Land and Sea Park. The attraction there is a few salt water rivers that run through the island and is the home of many sea turtles. The turtles were a little shy, so had no luck swimming with them, but we managed to catch some footage by putting the camera in the water as we were passing by slowly with the dinghy. We also proudly show cased our new dinghy engine to 3 paddlers who were happy to hitch a ride up the river as the current was a little too much for their liking. Riding it back down was apparently much nicer. So nice that they came by our boat at the end of the day to offer us a bottle of wine as gratitude. We were not expecting that, it was a really nice though!

On a navigué vers les Exumas à vitesse démesurée et avons jeté l’ancre à Shroud Cay, à l’extrémité Nord du Exuma Land and Sea Park. L’attraction principale, ici, c’est un réseau de petites rivières d’eau salée qui serpente à travers l’ile et qui abrite des tortues de mer. Les tortues sont un peu timides, et on n’a pas vraiment eu l’occasion de nager avec elles d’aussi près qu’on aurait voulu, mais on a quand même réussi à prendre quelques vidéos en passant lentement en dinghy, avec la caméra sous l’eau. Pour protéger l’écosystème, on se devait d’aller très lentement de toute manière. (Idéal pour la période de rodage du moteur !) On en a aussi profité pour remorquer 3 pagayeurs qui étaient assez heureux de ne pas avoir à se battre contre un courant qui était un peu plus rapide que leurs attentes. Il parait que le retour était beaucoup plus agréable. Il semble qu’ils aient apprécié le remorquage improvisé puisqu’ils nous ont récompensés le soir même en nous apportant une bouteille de vin au bateau. On ne s’attendait pas à ça, c’était une belle surprise !

After Shroud Cay, we were headed to a tiny little beautiful anchorage near little Hawksbille Cay. A place our friends from Maggie told us about… Picture below is from them (see the little tiny boat in the very shallow waters?)

La prochaine escale, après Shroud Cay, c’était un minuscule mouillage près de Hawksbille Cay. C’est un petit canal étroit dont nos amis du bateau « Maggie » nous avaient parlé. La photo ci-dessus est d’eux. (Vous voyez le tout petit petit bateau dans les eaux très-pas-profondes ?)

They draw a little less than us, and said they barely made it in, but also said it was very protected and of course, gorgeous. I guess we felt like we needed a challenge. “What else do we have to do, other than trying a tricky anchoring maneuver while it’s not crazy weather, and we have plenty of time and options? We can always use a little practice in calm weather…” So prior to leaving the anchorage, we debated a while about our plan. Should we do a Bahamian moor? Or should we try to tie to the trees on the beach? What is the boat going to do in the current? And if we stay a few days and the wind shifts to the west? How will we get out of there if it doesn’t go smoothly? Lots of questions, some answers and somewhat of a plan A and a plan B and a plan C.

It was a nice sail on a nice sunny day, in 15-20kt (the usual it seems like) and we took off from the anchorage under sail. However, our challenge of the day was not exactly what we expected. When approaching the anchorage, we dropped the jib, and before dousing the main, surprise: the starter refused to crank the engine. Oh ho… So Remy runs down below to troubleshoot things out while I sail the boat away from the rocks under main only. He knows his Mr Perkins pretty well, so he got it running. We got out of there.

 It took a while to figure it out why it did not start, and we are confident we found a decent explanation; we do not go at the dock often anymore. We also got used to maneuvering to our anchoring location under sail – so we only start and run the engine at low RPM and for a very short time before and after anchoring. So the starting battery never really had a good chance to charge in the last days. On the other hand, that starter is the only part of the engine that we did not really take apart during the last engine overall. So… maybe we should carry a spare – just in case.

Leur tirant d’eau est un peu plus faible que le nôtre, et ils ont mentionné que la profondeur de l’eau, et l’étroitesse du passage, leur permettaient tout juste de passer. Ils nous ont aussi mentionné que c’était majestueux et très bien protégé du vent dans toutes les directions. J’imagine qu’à ce moment-là on avait envie d’un défi. « Qu’est-ce qu’on a d’autre à faire, par une belle journée dans les Bahamas, que d’aller faire des manœuvres tordues. Appelons ça une pratique par temps calme ! » Donc avant de quitter notre mouillage, on a esquissé un plan ; Est-ce qu’on devait tenter un mouillage bahamien (à deux ancres opposées), ou bien s’attacher aux branches des arbres de chaque côté du canal ? Comment le bateau va-t-il réagir dans le courant ? Et si on reste quelques jours et que le vent vire à l’ouest, on fera quoi ? Comment on va sortir de là si ça tourne au vinaigre ? Plein de question… et quelques réponses plus tard, on avait un genre de plan A, un plan B… et un plan C.

C’était une super journée de voile ensoleillée (ça arrive souvent par ici) et on a quitté notre mouillage sous voile. Mais notre petit défi du jour n’a pas été exactement celui qu’on espérait. En approchant du canal, on a affalé le foc, et au moment de démarrer le moteur, surprise, le moteur refuse de démarrer. Tabarnouche. Rémy descend vers le compartiment moteur pendant que je manœuvre à éviter les écueils sous grand-voile seule. Un rocher sur bâbord ; un haut fond sur tribord. Puisqu’il commence à bien connaitre M. Perkins, Rémy arrive à le faire démarrer ; plus de peur que de mal.

Il nous a fallu un bon moment pour comprendre pourquoi le moteur a refusé de démarrer, mais on a trouvé une explication plausible ; on ne va plus à quai très souvent avec le bateau. Nous avons aussi pris l’habitude de nous approcher de nos mouillages sous voile — donc nous démarrons le moteur et le laissons tourner à bas régime seulement pour quelques minutes avant et après chaque ancrage. Bref, la batterie de démarrage n’a pas eu l’occasion de charger beaucoup dans les derniers jours. D’un autre côté, le démarreur est pas mal la seule composante du moteur qu’on n’a pas démonté en petits morceaux pour l’inspecter… peut-être qu’on devrait s’en procurer un de rechange… juste au cas.

Now though… Were we going to challenge ourselves in that little tiny tricky anchorage, not knowing if we would be able to motor ouf of there? No no no! We still went to the entrance to check it out (it was indeed really beautiful), but I think even without the engine mishap, we would not have made it in. It looked like we could have walked across the sand, it was sooooo shallow. Plan C was executed : U-turn in the entrance (which is something Sage does marvelously thanks to her major prop walk to port!) We ended up taking a mooring ball at Hawksbill North because it was going to be easy to sail off the anchorage.

Mais avec tout ça, l’idée de naviguer dans le mini racoin entre la plage et les cailloux sans savoir si le moteur allait démarrer la fois d’après venait de prendre le bord. Donc on s’est approchés de l’entrée, pour admirer (c’était vraiment joli), mais honnêtement, même sans l’histoire du moteur, je ne pense pas qu’on aurait pu entrer là-dedans. En fait, ça semblait tellement peu profond qu’on aurait pu traverser l’endroit d’un bord à l’autre sans mouiller notre t-shirt. On est donc passés au plan C : U-turn dans l’entrée et direction Hawksbill North. (Avec l’avantage additionnel de pouvoir quitter l’endroit sous voile si le moteur faisait des siennes à nouveau [on n’avait pas encore compris le problème à ce moment-là.])

Next stop was Warderick Wells Cay, which is the headquarter of the park with its the famous ‘horseshoe’ anchorage. We anchored away from all the other boats, according to our plan, and had a really nice stay: a long walk on the island, a happy hour with other boaters, a sunset on Boo Boo hill, and some snorkeling. We also ran into Michel from ‘le Grand Petit Prince’ who we met back in Florida.

Prochaine station, tou dou dooou ; Warderick Wells Cay.

Warderick Wells, c’est le quartier général du parc, avec son fameux mouillage en fer à cheval. On s’est ancrés à l’écart des autres bateaux et y avons passé un très agréable séjour ; on a marché sur l’ile pendant des heures, on a participé à un « 5 à 7’ avec les autres équipages, on a admiré un splendide coucher de soleil depuis BooBoo Hill et on a fait un peu de plongée en apnée. On a aussi croisé Michel, du Grand Petit Prince qu’on avait rencontré en Floride.

Next stop was Little Halls Pond Cay, which is owned by Johnny Depp. Some people pay a lot of money to be where we are now. Ok, they also have a big mansion with running water and a real shower, but other than that, we got the same beautiful view 😉 We came here to check out the ‘Sea aquarium’ which is a renown snorkeling spot in the park. We’re not yet very good at underwater filming, but this should give you an idea!

Notre prochain arrêt, c’était Little Halls Pond Cay, qui est en fait l’ile privée de Johnny Depp. Ça nous a fait réaliser que certaines personnes paient beaucoup de bidous pour être là où on se trouve ! Bon, d’accord, ils ont aussi une gigantesque propriété, avec l’eau courante et une vraie douche, mais à part ça, la vue est la même ! On était venus ici pour voir ce qu’on surnomme le “Sea Aquarium” qui est un petit récif de corail réputé pour la quantité de vie marine qu’il abrite. On n’est pas encore très bons avec les vidéos sous-marines, mais ça devrait vous donner une idée.

And then… to finish this story on a successful note, Remy fished his first Mahi-Mahi in the Exuma Sound on the way to Black point today! So I got to filet a Mahi for the first time, and we made awesome ceviche 😉

Et pour finir l’histoire sur une note positive, Rémy a pêché son premier Mahi-Mahi en route vers Back Point aujourd’hui. Donc j’ai apprêté des filets de coryphène pour la première fois, et j’ai préparé un délicieux ceviche !

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This Post Has 14 Comments

  1. Dave White

    You guys are doing great and having tooooo much fun!

    1. Magalie Laniel

      Tooooo much fun? Hum… let me think. No. Never too much 😉

  2. Aline

    Tellement agréable de vous lire mais j’ai tellement hâte de vous revoir! Je vous embrasse 🥰🥰🥰

    1. Magalie Laniel

      On a très hâte de te revoir nous aussi Aline! On t’embrasse fort 🙂

  3. Guy Beauregard

    J’adore les photos mais les récits rigolos surtout . Les films. 10 sur 10 pour le filet de Mahi-mahi. Pour en avoir pêché… c’est combatif !
    Un privilège de vous voir et vous lire !

    1. Magalie Laniel

      Tu peux surement comprendre qu’après avoir géré Winston de 0 à 4 ans, le Mahi c’était de la petite bière pour Rémy 😉 On est bien heureux que nos histoires vous plaisent et apportent un peu de soleil dans vos journée! Au plaisir les amis!

  4. Ted

    Great story and good to hear you are both enjoying the trip

  5. Martin Rivard

    Mon fils était fasciné par votre vidéo sous-marine, mes filles par la vidéo du mahi-mahiet ma blonde par les images de la plage. On se demande ce qu’on fait ici au frette et humide!

    1. Remy Boucher

      Ce que vous faites au frette? Ben vous pelletez. Si tout le monde était dans le sud, qui s’occuperait de la neige? Imagine de quoi ça aurait l’air dans 10 ans si personne ne pelletait jamais rien!

  6. Lucie

    Ça fait rêver de vous lire. Quelle magnifique aventure que vous vous êtes créé.
    Que du plaisir pour les yeux et le coeur.
    Merci de partager votre vécu vivant et lumineux.

    1. Magalie Laniel

      Ah mais c’est un grand plaisir de vous partager nos tranches de soleil! Vous êtes tous avez nous plus souvent que vous pensez. Votre soutien moral nous réchauffe le coeur, même quand tout va bien! Bisous chère Lucie xx

  7. Suzanne

    Aaah. I love reading your adventures, watching your photos and videos, it’s such fun. My next life will be like yours!!! We came back from our cruise with a lot of good memories, spending time with my daughter was the best! Aruba is very windy even on our big ship it was rocking, so if you go that way, be aware…thank you so much for sharing all your good and not so good adventures. Big big hugs to you both! ❤️❤️

  8. Robert

    Superbe vidéo mes héros! Très bonne idée d’avoir inclus Elvis et “Téquila Sunrise”. Il reste juste à écrire des scénarios pour les deux vedettes. Très belles tortues, mais mon coup de coeur est la vidéo de navigation à 7.6 kt (souvenirs, souvenirs, je pense à toi St-Laurent). Fructueuse pêche; ce fut un excellent coup de filet (de poisson). Attention Rémy, Magalie manie très bien le couteau…….hi!hi!.
    En attente de la prochaine vidéo-roman. Love Papa xxxx.

  9. Jocelyne

    Coucou les bahamiens!
    C’est toujours un vif plaisir de lire votre blog surtout depuis que nous avons la traduction française (Merci Rémy, tu es un as dans cette tâche…pas facile).
    J’ai beaucoup aimé les vidéos, la musique d’accompagnement était vraiment bien choisie. Sur une vidéo, on aurait dit que les poissons dansaient au son de la musique classique. C’était très cool.
    Félicitations Rémy pour ta belle prise, un maïmaï, ce n’est pas rien et toi Mag, tu as l’air d’une pro en dépeçage de poissons. 🐟Je comprends que tu as un bon couteau (Ah!Ah!Ah!) mais tu m’as vraiment épatée, tu réussi tout du premier coup…Bravo!👍
    Continuez de nous envoyer des parties de vos journées ensoleillées, on en a besoin car ici au Québec il neige encore à plein temps ce midi et ce depuis très tôt ce matin. Je pense bien que l’hiver prochain, on va aller faire un p’tit tour dans le sud.🌞😎

    J’ai bien hâte de lire encore une de vos aventures. Bonne suite et bons vents⛵!

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