Bahamas – part 2

JanVIER - Février 2023

Back in the Exuma, it feels quite comfortable to be in “known territory” again. We went back to the Sea  aquarium, just because it’s so beautiful. Then we let BiggerFish sail ahead of us again, and stayed in the area for a few days to see a few things we missed last years, like Compass Cay and Rachel’s Bubble bath. (We had very nice videos of Rachel’s bubble bath, but they are unfortunately lost inside my drowned computer.)

Rédigé en anglais par Magalie, traduit vers le français (et légèrement déformé) par Rémy.

De retour dans les Exumas, avec la relaxante impression d’être en terrain connu. Nous sommes retournés au Sea Aquarium, simplement parce que la faune aquatique y est si jolie. Puis, nous avons laissé Bigger Fish s’éloigner et nous sommes restés en arrière, pour visiter quelques endroits que nous avions ratés l’année dernière, comme Compass Cay et Rachel’s Bubble bath. (Malheureusement tous les vidéos de Rachel’s Bubble Bath ont été noyées dans le thé eux aussi.)

Compass Cay is where we decided to hide for the cold front (you read that post already, so I won’t elaborate too much on that). Around Compass Cay is a quite beautiful area with all the sand flats that uncover at low tide and become traps when you’re wandering around in the dinghy without Navionics…

  • Where should we go?
  • I don’t know. Try a little more that way maybe?
  • Let’s walk instead.
  • (And Remy ends up dragging the dinghy in the sand for a little too long…)

After the storm we went for a long walk around the cut on Thomas Cay, and were greeted by sailors having a sundowner drink on the beach. Too bad we forgot to bring a headlamp, we had to leave before dark to find our way back to Sage – through the shoals and many little islands… it could have been quite a challenge.

C’est à Compass Cay que nous nous sommes cachés d’un méchant front froid. Mais ça, vous le savez déjà, parce qu’on en a déjà parlé dans une autre publication un ti peu plus technique. Ce qu’on ne vous avait pas mentionné, c’est que les alentours de Compass Cay sont vraiment splendides – avec de grandes étendues de sable blanc qui découvrent à marée basse (et dans lesquels vous restez pris pendant des heures avec le dinghy à essayer de trouver une sortie pour ne pas avoir à attendre la prochaine marée montante).

  • C’est pas assez creux ici non plus… alors maintenant… on va par où?
  • Je sais pas… on essaie un peu par là-bas, peut-être?
  • Je pense qu’on devra marcher plutôt.

(Et c’est là que Rémy finit par devoir traîner le dinghy dans le sable pendant des miles et des miles.)

Après la petite tempête qui nous a immobilisés à l’ancre pendant quelques jours, on  a visité Thomas Cay où nous avons été accueillis par quelques marins buvant sur une plage. Nous n’avons par contre pas pu leur tenir compagnie très longtemps puisque nous n’avions pas apporté de lampe avec nous, et que retrouver le bateau, dans le noir total, à travers le dédale de petites iles et de hauts fonds aurait été un tantinet compliqué.

Later we caught up with Jamar, our friend Paul who’s been sailing mostly solo on his First 40 since he left Florida. It was fun to see him again in Staniel, and introduce him to Hugo and Mimi. Have we talked about Paul already? Paul is a Canadian from Victoria, who sails mostly singlehanded, who is always calm, who speaks English, French, and (now we know) Spanish, who knows how to dance, who sails like a champ, who seems to never make mistakes (it’s almost annoying!), but we like him a lot!

We also met Hugo’s friend Pepe on Bergamote. Hugo calls him his “worst best companion”… Fun times with crazy sailors. Between diving the cave and the many happy hours, we stayed quite entertained.

Un peu plus tard, nous avons rejoint notre ami Paul qui a navigué en solo sur son first 40 depuis la Floride. C’était agréable de le revoir à nouveau à Staniel et de lui présenter Hugo et Mimi. On vous a déjà parlé de Paul? Paul c’est un Canadien de Victoria, qui navigue en solitaire, toujours calme, qui parle anglais, français, et (maintenant on le sait) espagnol, qui sait danser, qui navigue comme un champion, qui fait jamais d’erreur. Sacré Paul. On l’aime bien. Il n’a comme pas de défaut. C’est presque fatiguant!

On a aussi rencontré Pépé, celui qu’Hugo appelle son « meilleur mauvais compagnon ». Pierre-Paul (Pépé pour les intimes et moins intimes) c’est un personnage coloré, plein d’histoires et d’expérience salées, qui a une recette de petit drink pour toutes les occasions! Pépé navigue sur son voilier Bergamote, un Beneteau Idyle 35.

Then Remy’s brother, Marc-André, came to visit, he was flying into Georgetown, but we were not quite there yet. Mimi and I had a great idea… Let’s send the boys on a taxi mission, and let’s have a girls’ weekend on BiggerFish! That was lots of fun! While the boys were sailing from Farmers to Georgetown, we sailed from Farmers to Black Point. Oh it’s a short ride, but we wanted to enjoy the day, so we sailed a bit north, then a bit west, then a bit SW,  then we tacked, we reefed before the squalls, we tacked again, and sailed NE until we had enough and decided to head for Black point. We drew a nice modern art shape track on the GPS, and dropped anchor at the same time as the guys dropped their hook in Georgetown! They came back the next day with the brother and some grocery, and made it just before sunset.

Un peu plus tard, c’est Marc-André, le petit frère de Rémy, qui devait venir passer un peu de temps à bord. On devait le ramasser à Georgetown, mais on avait un peu de retard. Georgetown, c’est à une quarantaine de milles de Farmer’s – où on était à ce moment-là. Alors Mimi a eu une excellente idée; envoyons les deux gars en mission de taxi, aller-retour à Georgetown, et pendant ce temps-là, nous, on pourra se faire une fin de semaine de filles, à se faire des tresses et à manger de la crème glacée en pyjama. Bref, pendant que les gars ont fait l’aller-retour à Farmer’s avec Sage (les deux jours au gros portant), les filles se sont amusées à faire de la voile sur Bigger Fish entre Farmer’s et Black Point. La distance entre Farmer’s et Black Point est super courte – alors elles on navigué un peu au nord, un peu à l’ouest, un peu au sud-ouest… puis viré à nouveau, pour finalement prendre un ris avec l’arrivée d’un grain pour finalement se diriger vers le nord-est jusqu’à enfin décider de venir s’ancrer à Black Point pour profiter de la soirée. Le chemin de la journée a dessiné une superbe œuvre d’art abstrait sur le GPS. Les filles ont jeté l’ancre à Black Point à peu près au même moment que les gars à Georgetown – juste avant le coucher du soleil. Les gars sont revenus, avec le petit frère et un peu d’épicerie, au gros portant le lendemain soir comme prévu.

Another new thing we experimented this year was the 5F : the First Friday of February Festival in Farmer’s’ Cay. In the days prior, we watched the tranquil island (which only 70 people – officially 66 in 2010 – usually call “home”) slowly fill up with hundreds of boats anchored all around. 70 people, that’s not much… it’s probably less people than in a Cracker Barrel on a Saturday morning.

The festival involved a regatta with small Bahamian boats that have more sail area than you can imagine, and some kind of plank on which they sit to hike out and balance the healing of the boat. They raced just outside and through the mooring field. Too bad there was not much wind, we didn’t get to see them hike out. And our friend Daniel didn’t get to sail either, as he was on a “rail meat” waiting list.

We met with a lot of other French Canadians at the festival, everyone from Green Cove was there! Plus the Acadians, and all the others we met along the way. Oh and we crossed path with 2 other Wauquiez Hood 38, but these were MK2, the second version of the boat. We got to visit Remedy, which was really interesting to compare all the little details and differences. Mary and Phil are also living aboard and working remotely… and they have Starlink! Ouuuuuu…. Yeah, lots of sailors now have that, but we learned what the downside is : it draws 4.5A continuously when it’s ON. So… not sustainable for us with our current energy setup (3 solar panels only)… Or not yet maybe.

There’s something bittersweet about meeting Quebecers while traveling. On one hand, we’re going away to feel “away”, but we don’t feel very far when everyone around us speaks real French Canadian. (Thankfully we have Paul… who at least has an accent when he speaks French!) And on the other hand, we keep meeting amazing people who all have interesting stories to share. So we love them individually, but they’re a bit annoying collectively 😉

Un autre événement un peu spécial auquel nous avons eu l’occasion de participer cette année – c’est le festival des 5F : the First Friday of February in Farmer’s Cay. (Ou – pour les francophones – « Le fremier fendredi de Fevrier à Farmer’s Cay. »)

Bon. Vous allez me dire que ça fait juste 4 « F », pas 5… mais là, moi, j’suis juste un traducteur. Vous demanderez à l’autrice (eh boy… faut dire autrice maintenant)… donc vous demanderez à l’autrice où est le F qui manque, moi, je fais juste mon job. (N.d.T.)

Donc pour les quelques jours qui précèdent le festival, nous avons assisté au réveil de la petite ville de Farmer’s, qui compte normalement une population d’environ 70 personnes (66 au recensement de 2010) et qui, durant le festival, accueille des centaines de bateaux, ancrés tout autour. 60 personnes… c’est pas beaucoup. C’est à peine davantage qu’un resto Normandin un dimanche matin.

Un des attraits principaux du festival, c’est la régate de voiliers Bahamiens, qui portent une quantité de toile complètement déraisonnable et à bord desquels l’équipage utilise une planche pour déplacer les équipiers au vent, en porte-à-faux au-dessus de l’eau, pour équilibrer l’embarcation. Dommage, les vents étaient légers et les équipages petits (à peine deux ou trois personnes en équilibre sur la planche!) C’est notre ami Daniel qui était déçu… il avait donné son nom comme équipier supplémentaire, mais on n’a pas eu besoin de lui comme contrepoids cette fois ci.

On a aussi rencontré beaucoup de Québecois à Farmer’s. Toute la gang de Green Cove était là! Plus les Acadiens et tous les autres qu’on a rencontré le long du chemin. On a aussi croisé deux équipages qui naviguent sur des Wauquiez Hood 38 – mais il s’agissait de MK2 – la seconde génération du modèle. On a visité Remedy, et c’était bien intéressant de comparer tous les petits détails et les différences entre l’ancien et le nouveau modèle. Mary et Phil vivent aussi à bord et travaillent à distance… et ils ont Starlink. Ouuuu… oui. On rencontre de plus en plus de StarLinks installés sur des bateaux, mais on commence à aussi en voir le côté négatif; ça tire 4.5 ampères en continu… ça fait beaucoup. Chose certaine, avec nos trois petits panneaux solaires, ça n’est pas possible pour le moment. A suivre peut-être.

Je suis un peu mi-figue mi-raisin par rapport aux Québécois qu’on rencontre. D’un côté, j’ai hâte d’être un peu dépaysé et de rencontrer moins de touristes de chez nous, mais d’un autre côté, je suis toujours surpris des gens intéressant qu’on rencontre. Bref, individuellement, je les aime beaucoup, collectivement, ils m’énarvent un peu. (N.d.T.)

Lots of important things happened in Farmer’s Cay this season. We also received a very special delivery: Olivier who was sailing from Green Cove a little later than us, brought us a new transmission, a used windlass, a gallon of tire sealant (aka slime) for the dinghy, and a few other thingies. So as soon as the festival was over, Remy had drafted a very precise action plan for the transmission replacement. We took the transmission apart more than once, there’s no secret to that. But this time we were going to do it in the water! For those of you who are not familiar, removing the transmission involves moving the shaft aft by about 8 inches, which involves untightening the dripless seal (or PSS), which means water’s going to come in the boat! For that reason, we needed a precise plan to minimise time spent while water is pouring in. It ended up being easier than we thought! (This is usually unheard of!) Remy found a way to compress the shaft back while it was out of place so that the dripless seal could do its job. That meant he could take his time removing the old transmission and putting the new one in. Everyone contributed: Hugo and Mimi dove under to move the zincs out of the way and be ready to squeeze a ring of wax around the shaft in case too much water was coming in. Marc-André was the chief ziplock organizer (keeping track of which screw goes where – mucho importante!). Remy was doing all the rest of the work. And I was making sure all the steps were happening in the right order (I can enjoy the easy job once in a while!) And TADAM! New tranny installed! (It’s wonderful, it goes forward when we put it in fwd!)

The new ‘used’ windlass replaced our old broken one. It was simpler and almost cheaper to get a new ‘used’ one than to order the broken pieces only. Same model, so an easy swap, and now we have a spare for – almost – everything.

And the dinghy got slimed with the same green stuff as last year. Not as successfully this time though. It stayed inflated 2 days… Oh well. As long as we still have 2 out of the 3 tubes inflated, we can float… So we’ll live with that another few miles.

En fait, plein de choses importantes se sont produites à Farmer’s Cay cette saison. Nous avons entre autres reçu une livraison très spéciale : Olivier, qui a fait la traversée depuis Green Cove un peu plus tard que nous, nous a ramené une nouvelle transmission, un guindeau usagé, un gallon de scellant pour pneus (Slime) pour faire survivre notre dinghy qui dégonfle et quelques autres petits gadgets. Donc aussitôt le festival terminé, nous avons mis sur pied un plan de match super précis pour le remplacement de la transmission. En fait, nous avons déjà démonté (et remonté) la transmission plusieurs fois, il n’y a pas de secret là… mais c’était la première fois que nous allions la démonter… avec le bateau dans l’eau. Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la procédure, enlever la transmission du bateau implique qu’on doit détacher l’arbre d’hélice et le déplacer d’environ 8po vers l’arrière… ce qui implique par conséquent qu’on doit défaire le joint d’étanchéité, aussi appelé PSS, qui remplace ce qui était autrefois le presse-étoupe de l’arbre d’hélice. En d’autres mots, durant une bonne partie de la procédure, il va pisser de l’eau dans le bateau. C’est correct pour quelques secondes – on a une pompe de cale qui fonctionne bien – mais si ça dure trop longtemps, ou si on brise le joint d’étanchéité en cours de route, ou si on n’arrive tout simplement pas à le remettre en place… ça pose un problème. C’est pour ça qu’on avait besoin d’un plan précis, avec des solutions de contingence et des stratégies de sortie en cas de problème.

Tout le monde a été mis à contribution; Hugo et Mimi étaient en plongée pour déplacer les anodes sacrificielles et pour pouvoir boucher le tube d’étambot avec de la cire en cas de problème et Marc-André a été nommé organisateur-en-chef-des-ziplocs-de-pièces. Ok, ça ne semble pas glorieux comme tâche… mais c’est assez critique : ça permet de savoir quelle pièce va où lors du remontage. Quand le temps du remontage est mesuré par une clepsydre à l’intérieur de laquelle on se trouve : pas le temps de niaiser.

Chose assez inhabituelle dans le monde des travaux de bateaux, l’exécution a été plus facile que prévue; nous avons trouvé une manière de maintenir la bague du PSS sous pression durant toute l’opération, ce qui fait qu’à peine quelques litres d’eau ont fait leur chemin vers l’intérieur.

Nous avons donc maintenant une transmission qui s’engage toujours de l’avant quand le ‘tit bras est poussé vers l’avant. Ça fait plaisir.

Pour ce qui est du guindeau, il y avait une seule pièce de brisée à l’intérieur, mais c’était moins compliqué (et presque moins cher) d’acheter un guindeau complet – légèrement usagé – que de commander la pièce brisée d’Italie. En prime, on a maintenant un double pour – presque – toutes les pièces qui pourraient brisées.

La réparation du dinghy a été pas mal moins réussie. Basé sur les succès de l’an dernier, on espérait vraiment que le slime allait sceller les fuites du boudin avant… mais ça n’a pas fonctionné et ça s’est re-dégonflé après deux jours. Bon. Tant qu’il nous reste deux tubes gonflés… l’ensemble flotte… et on va vivre avec encore un peu.

After too much fun in Farmers, Black Point, Staniel, it was time to look for an opportunity to go SE. Marc-André had a flight to catch from Georgetown, and Hugo and Mimi were starting to feel the urge to get closer to DR, because they have an important rendez-vous in early March… Ha! The joy of winter, there’s always a front around the corner to screw with the dominant winds and help those who don’t sail in the ‘right’ direction. We all staged near the cut, so we would not depend on high tide to get out of our anchorage. The BiggerFish team left at 2am (slack tide), and sailed 36h to Mayaguana. And we left at 3pm next day to sail to GT. We had great winds all the way, but Marc-André thought it was a bit of a bumpy ride…

Georgetown was fully loaded at the beginning of February. Apparently around 350 boats scattered all along Stocking island. Arriving in the dark, around 10pm, the anchorage area looked like a big city of white lights! It was beautiful, but confusing at the same time. So we safely set anchor at the westernmost area of the anchorage for one night, and moved closer to town (and swell protection) the next day. The front that brought us favorable winds to go SE also brought strong easterlies all week. The dinghy rides into town for replenishments were sporty and wet! We caught up with Olivier, Paul, Hugues and Joanie, and met a bunch of new people at chat and chill around the volleyball court (or the Domino championship table).

Après tout ce divertissement à Farmers, à Black Point et à Staniel, il fallait maintenant passer aux choses sérieuses et surveiller les opportunités pour aller au sud-est. Marc-André avait son vol de retour à Georgetown, et Hugo et Mimi commençaient à avoir hâte de se rapprocher de la République Dominicaine à cause d’un rendez-vous important au début mars. Ah, les joies de l’hiver! Il y a toujours un front froid qui vient s’opposer aux vents dominants pour aider ceux qui naviguent dans la mauvaise direction! Nous nous sommes préparés à reprendre la route. L’équipe Bigger Fish est partie de Farmer’s à 2h du matin (à l’étale) et a navigué 36h pour se rendre à Mayaguana. De notre côté, nous sommes partis à 3h de l’après-midi, le lendemain, pour se rendre à Georgetown. Nous avons eu du super beau vent pour cette navigation, quoi que Marc-André ait trouvé la navigation un peu cahoteuse…

Le mouillage en face d’Élizabeth Harbour était pas mal occupé en ce début de février. Apparemment, tout près de 350 bateaux étaient à l’ancre tout autour de Stocking Island. À notre arrivée, dans le noir, vers 22h, le mouillage ressemblait à une ville de petites lumières blanches, à cause des feux de mouillage de tous ces bateaux. C’était joli, mais ça rendait la navigation un peu confuse. Nous nous sommes donc ancrés tout près de l’entrée, dans la partie ouest du mouillage pour une nuit, et nous nous sommes déplacés plus près du village (et plus loin du roulis de l’Atlantique) le lendemain. Le front froid qui nous avait apporté des vents favorables pour se déplacer vers le sud-est ne nous a pas trop lâchés. Les allers-retours en dinghy pour aller faire des provisions en ville étaient assez sportifs et plutôt mouillants. Quoi qu’il en soit, on a profité de notre séjour à Georgetown pour revoir Olivier, Paul, Hugues et Joanie et rencontrer de nouvelles personnes au Chat&Chill, autour du terrain de volleyball (et de la table du championnat de Dominos).

While enjoying this floating village, we kept a sharp eye on the weather. We had warned Marc-André that we may have to leave him ashore if we had a weather window that we could not miss. Luckily, he was only an orphan for 24h (we left him in good hands with Olivier!), and we got to celebrate Remy’s birthday all together the day before leaving.

Leaving to go where??? Mayaguana? Turks and Caicos? You know if you followed us via the InReach GPS 😉 More stories to come soon!! Stay warm!

Mais pendant qu’on profitait des activités de Georgetown, on gardait toujours un œil sur la météo. Marc-André avait été bien informé que si une fenêtre météo s’ouvrait, il devrait se débrouiller seul à terre, parce que les fenêtres vers l’est sont rares, et il n’était pas question qu’on la manque. Par chance pour lui, il n’a été orphelin qu’un petit 24h (et laissé entres bonnes mains avec Olivier), et nous avons aussi pu fêter l’anniversaire de Rémy tous ensemble avant de partir.

Partir vers où??? Mayaguana? Les îles Turquoises? Vous le savez déjà si vous avez suivis notre trace GPS via le Garmin InReach 😉  On vous revient avec la suite des histoires bientôt! En attendant, restez au chaud!

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PS : Ah… Festival! « F » pour festival! Eh boy… le F qui manquait. Ok. J’ai rien dit.  (N.d.T.)

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This Post Has 3 Comments

  1. Aline Prefontaine

    Un février bien occupé les amis. Toujours très contente d’avoir de vos nouvelles.
    Belles photos et ma préférée c’est celle du bisous à Rémy, c’était sa fête????
    Good job d’avoir joué dans l’arbre d’hélice sur un bateau à l’eau, bravo!!!

  2. Louise & Papa xxxxx

    Bravo mes héros, hâte de connaître la suite!
    On vous aime xxxxxxxx

  3. Jocelyne

    Coucou!
    Mag, est-ce que ton projet de couture avance?
    Avez-vous finalement trouvé le 5e “F” du festival? 🙂
    Est-ce que Mag a réussi son cours de Boulangerie 101?
    Bravo pour le changement de transmission, vous êtes une équipe de vrais PROS…
    J’ai trouvé que Marc-André avait pris de très belles photos…
    C’est toujours bien plaisant de vous lire… Dans mon cas, surtout avec la traduction de Rémy que j’apprécie énormément et que je trouve très drôle les rajouts qu’il apporte.
    À la prochaine!
    MOM XOX

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